Deux jours à tuer
Comment vous expliquer....
Si vous voulez être submergés d'émotions,
si vous voulez être pris à la gorge par des sentiments très forts,
Si vous acceptez qu'un tourbillon vous emporte,
Allez vite voir ce film !
Il n'y a pas d'effets spéciaux, peu de pubs autour de lui,
mais malgré cela, le bouche à oreilles a fait son effet et il passe dans les salles depuis trois semaines
Je ne peux pas vous raconter l'histoire sinon vous en découvririez la fin,
alors je me contente de vous en copier le résumé :
Antoine Méliot, la quarantaine, a tout pour être heureux : une belle épouse, deux enfants adorables, des amis sur lesquels il peut compter à tout instant, une jolie demeure dans les Yvelines et de l'argent. Mais un jour, il décide de tout saboter en un week-end : son bonheur, sa famille, ses amis. Que s'est-il passé chez cet homme pour qu'il change si étrangement de comportement ?
Allez vite voir ce film !
Il n'y a pas d'effets spéciaux, peu de pubs autour de lui,
mais malgré cela, le bouche à oreilles a fait son effet et il passe dans les salles depuis trois semaines
Je ne peux pas vous raconter l'histoire sinon vous en découvririez la fin,
alors je me contente de vous en copier le résumé :
Antoine Méliot, la quarantaine, a tout pour être heureux : une belle épouse, deux enfants adorables, des amis sur lesquels il peut compter à tout instant, une jolie demeure dans les Yvelines et de l'argent. Mais un jour, il décide de tout saboter en un week-end : son bonheur, sa famille, ses amis. Que s'est-il passé chez cet homme pour qu'il change si étrangement de comportement ?
Adapté d'un roman | ||
Deux jours à tuer est adapté du roman éponyme de François D'Epenoux. Un livre qu'une amie de Jean Becker lui a donné à lire alors qu'il se trouvait en Ecosse, qu'il a commencé et n'a plus quitté. Le réalisateur explique : "J'ai tout de suite été intrigué, déstabilisé même, par le comportement d'un homme qui le temps d'un week-end envoie tout promener. (...) Cette histoire me plaisait, d'autant plus [...] | ||
A voir jusqu'au bout | ||
Pour Jean Becker, la musique du générique de fin fait partie intégrante de Deux jours à tuer. Lors des projections de presse, la lumière ne se rallumait qu'à la toute fin de la chanson, et il était demandé aux journalistes de l'écouter attentivement. A la fin du film, une chanson vient vous "achever" et franchement si vous êtes capables de sortir de la salle sans larmes, croyez-moi : vous avez le coeur très sec. Vous avez une heure et demie de libre (et non à perdre) alors : Film à voir ABSOLUMENT ! |
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C